Mes trois amantes

Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 2 ans

Jusqu'à il y a peu j'étais quelqu'un d'assez conformiste. J'étais sans doute un peu prude surtout quand je me comparais à certaines de mes amies. L'idée d'une partie à quatre avec des femmes me trottait dans la tête depuis longtemps mais je n'osais pas. Pourtant mes trois meilleures amies étaient ouvertement bisexuelles. Et elles étaient sacrément bien foutues par dessus le marché. Mais c'est parfois au moment où l'on s'y attend le moins que surviennent les meilleures surprises.

L'imprévu dans ces situations apporte toujours du piment. Fautes de temps, je trouvais toujours un prétexte pour repousser cette expérience. Quand ce n'était pas mon fils qui était malade, c'était mon mari Stéphane qui était à la maison et qui avait invité ses collègues de travail à venir voir un match de football à la maison.

Cela devenait d'un gênant. Le hasard faisant pour une fois bien les choses, mon fils était en vacance chez ma belle-mère et mon mari était en voyage d'affaires. Enfin seule, je décidais donc de me prendre en main et d'organiser une soirée digne de ce nom. Vingt heures sonnaient. La table était prête. J'avais préparé une bisque de homard suivie de filets de dorades en papillotes dont j'étais assez fière... Je ne sais si ce fut l'excitation du vin ou si mes sens qui se réveillaient mais toujours est il que je ne me sentais pas comme d'habitude. Peut-être était ce du à la fatigue de la semaine de travail qui avait été harassante pour moi ? Une fièvre montait en moi.

Des frisons parcouraient ma peau. La fin du repas qui se déroulait comme prévu ne fut interrompue que par un coup de fil de mon époux qui m'informait qu'il rentrerait très tard. Tant mieux ! Lorsque je revins dans le salon je constatais qu'il n'y avait personne. Je décidais donc de monter à l'étage voir s'il n'y avait rien d'anormal. Par la porte entrebâillée de ma chambre je remarquais la lumière de ma lampe de chevet qui était allumée. Des bâtonnets d'encens brûlaient, rependant leurs parfums dans l'atmosphère. Elles étaient là mes trois chipies, toutes les trois vêtue d'un caraco en soie de couleurs orangées se ressemblant étrangement.

Je les observais silencieusement et les enviais. Leurs regards de braise et leurs sourires que réfléchissait le miroir semblaient m'inviter et me dire "Viens, rejoins-nous, nous allons bien nous amuser ensemble". J'entrais timidement... Comme des soeurs siamoises, elles jouaient avec leurs vêtements en soie, en tirant leurs culottes assorties qui effleurait leurs clitoris Lentement elles se dévêtirent et prirent leur aise sur mon lit. Je les imitais. Alors une envie subite de mots crus pour désigner leurs sexes jaillit de ma bouche. Nous nous occupions avec soin de nos grandes lèvres, petites lèvres, vagins, vulves, motte, monts de Vénus. Autant de nom que nous prononcions à voix haute pour autant de caresses. Nous nous contemplions tout en caressant les unes à coté des autres.

Comme il était bon de prendre soin de nos corps, de prendre pour fois du temps pour soi et de le partager entre amies. Enfin, j'avais de la sérénité pour jouir en paix. Comme mes compagnes de plaisir, j'humectais mes doigts et les reniflais avant de les porter à ma bouche.

J'avais toujours aimé l'odeur de mon antre, ce doux parfum légèrement iodé. La vue de mes trois compagnes qui se masturbaient augmentait d'autant plus mon excitation mais je retenais ma jouissance. Avec empressement elles imitaient mes gestes. Comme moi, mes trois dévergondées se cambraient et d'une main se doigtaient le con et de l'autre introduisait dans leurs anus un rouge à lèvre Clarins à bout rond. Mes copines étaient des chaudasses, vous n'imaginez pas à quel point ! A certain moment j'avais l'impression que les deux instruments de plaisir se rejoignaient en moi comme si deux phallus me labouraient le corps. Nous jouissions sans fin, à répétition, orgasmes après orgasmes. Quelle merveilleuse découverte du plaisir que de se masturber les unes devant les autres, de nous voir se polir ainsi la fente.

Depuis combien de temps étions nous affalées sur mon lit à jouir quand mon mari rentra ? Je ne m'en rappelle plus. Les marches de l'escalier en bois craquaient. Dans l'affolement, j'eus à peine le temps de refaire le lit. Le visage de Stéphane apparu par l'entrebâillement de la porte.

-Alors ma chérie, tu ne t’es pas trop ennuyée durant mon absence ? Tu t 'es branlée devant le miroir comme je te l'avais demandé ?

  • Oui mon ange. Quelle délicieuse idée tu as eu que d'acheter ce miroir triptyque !

Moi, je ronronnais de plaisir. Qu'il était décidément bien agréable de se faire miauler la chatte en se partousant soi-même ! Mais ce ne fut rien en comparaison de ce qu'il advint par la suite avec mon époux......

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